Un Mouillage de Bâteau
Comme quoi;
J'attends.
Que quelqu'un se réveille;
Une vie qui étincelle,
Un désir charnel,
Une flamme qui en deviendrait presque,
Attendrissante.
L'Être humain,
Enfant prodige,
D'un autre enfant. Et,
Au fond, c'est le fond de l'un
Qui remplit l'autre.
Le rire;
Fou rire d'une mouette,
Presque enivrant,
Qui pour un quiproquo se casse le dos,
Et en regrette presque d'avoir oublié ses mots.
Une lueur de chaque côté,
Telles les pointes d'un compas,
Me dirigeant vers la plus belle paire de seins,
Auréolée d'une chevelure d'or,
Et un sourire a n'en plus finir.
La bonne ou la mauvaise?
Là ne devrait pas être la question,
Car à jamais dans mes rêves,
Je retrouve celle qui m'attend.
À qui revient la rose,
D'une première impression?
À celui ou celle dont nous savons,
Qu'il ou elle, à la deuxième,
N'en sera que reconnaissant.
Mon cœur qui bat à la mesure des vagues,
Et qui est à la merci de ton regard
Saute un pas à chaque fois,
Que tes yeux je croise.
Puis-je goûter à ta peau,
Son fin duvet qui sent le soleil,
Et lécher le sable qui sur tes épaules,
Forme des entrelacs qui ressemblent,
À un mouillage de bateau.
Laisse moi te dénouer tel un cordage,
Pour regarder ta voile, ton corps,
Non se plier a un rouage,
Mais bien flotter au gré du vent.
J'attends.
Que quelqu'un se réveille;
Une vie qui étincelle,
Un désir charnel,
Une flamme qui en deviendrait presque,
Attendrissante.
L'Être humain,
Enfant prodige,
D'un autre enfant. Et,
Au fond, c'est le fond de l'un
Qui remplit l'autre.
Le rire;
Fou rire d'une mouette,
Presque enivrant,
Qui pour un quiproquo se casse le dos,
Et en regrette presque d'avoir oublié ses mots.
Une lueur de chaque côté,
Telles les pointes d'un compas,
Me dirigeant vers la plus belle paire de seins,
Auréolée d'une chevelure d'or,
Et un sourire a n'en plus finir.
La bonne ou la mauvaise?
Là ne devrait pas être la question,
Car à jamais dans mes rêves,
Je retrouve celle qui m'attend.
À qui revient la rose,
D'une première impression?
À celui ou celle dont nous savons,
Qu'il ou elle, à la deuxième,
N'en sera que reconnaissant.
Mon cœur qui bat à la mesure des vagues,
Et qui est à la merci de ton regard
Saute un pas à chaque fois,
Que tes yeux je croise.
Puis-je goûter à ta peau,
Son fin duvet qui sent le soleil,
Et lécher le sable qui sur tes épaules,
Forme des entrelacs qui ressemblent,
À un mouillage de bateau.
Laisse moi te dénouer tel un cordage,
Pour regarder ta voile, ton corps,
Non se plier a un rouage,
Mais bien flotter au gré du vent.